Journal d'un voyage de Paris aux Eaux-Bonnes.

En allant par Orléans, Tours, Poitiers, Bordeaux et Pau ;
revenant par Pau, Tarbes, Périgueux, Limoges et Chateauroux fait en 1841 par Monsieur et Madame Houbigant et Mademoiselle Louise Leullier.

Découvrez le voyage de Houbigant,

genre très en vogue à l'époque.
Ses rencontres, ses balades, ses découvertes botaniques sont l'occasion de se familiariser avec les coutumes et traditions de la population locale.

Plongez vous dans la richesse artistique

du journal, par le biais des rencontres avec les peintres,
graveurs et lithographes de l'époque, mais aussi avec les productions personnelles de Houbigant et de sa femme
Le voyage, une expérience spatiale et culturelle ...
C’est en effet par sa valeur de témoignage d’une expérience vécue, riche et diversifiée, que ce Journal d’un voyage de Paris aux Eaux-Bonnes constitue une pièce maîtresse du fonds pyrénéen de la Bibliothèque patrimoniale de Pau. Composés avec soin et a posteriori à partir des matériaux réunis in situ, ces deux volumes relatent, pour le premier, l’itinéraire au départ de Paris le 16 juillet 1841 à 6h 22 du soir par la diligence de la malle-poste vers Bordeaux puis Pau, et de là vers les Eaux-Bonnes – le couple y séjourne à nouveau l’année suivante – et, pour le second, le fruit complémentaire du séjour de 1842 augmenté de la visite de Bayonne, de ses environs et de la côte basque.
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Armand-Gustave Houbigant

est né à Paris le 29 janvier 1790. Il est le fils de Jean-François Houbigant (1752-1807), célèbre parfumeur de Grasse venu s’installer à Paris en 1775 pour vendre des gants, des parfums et des corbeilles de mariage. Depuis sa boutique du Faubourg Saint-Honoré, « A la corbeille de fleurs », il fut tour à tour le fournisseur de Madame du Barry alors favorite de Louis XV, Marie-Antoinette, Napoléon 1er. Cette maison – qui existe toujours – continuera à approvisionner les grands du monde, comme la Reine Victoria et plus tard l’épouse d’Alexandre III de Russie jusqu’à la veille de 1917… Son fils Armand-Gustave, a donc grandi dans un milieu raffiné et familier de l’art.