D’origine italienne, né à Marseille, Ferogio (1805-1888) se forme à Montpellier puis à l’Ecole des Beaux-Arts de Paris à partir de 1825 auprès de Gros – baron Antoine-Jean Gros (1771-1835), peintre néo-classique qui fit partie de la suite de Napoléon Bonaparte en Italie. L’élève intègre l’habileté acquise auprès du grand peintre d’histoire ...
Comme pour Delacroix en 1845, ce sont des raisons de santé, cependant plus sérieuses – une péripneumonie –, qui amènent dans les Pyrénées en 1841 cet artiste parisien (1805-1865), qu’un pénible chantier de décor a attiré en Avignon.
C’est de manière indirecte et post mortem que le comte de Bouillé (1819-1906), l’un des pyrénéistes les plus attachants, « rencontre » Houbigant, de 29 ans son aîné. Tout les rapproche, au delà du temps : la santé chancelante d’une épouse aimée ; une passion sans exclusive pour les Pyrénées ossaloises et tout ce qu’elles contiennent,...
Cette femme peintre parisienne compte parmi les élèves que Pierre-Henri de Valenciennes a formés au paysage. Fidèle à ses Conseils, elle se rend en 1830 dans les Pyrénées, peint à Gavarnie comme en témoigne une toile conservée au Musée des Beaux-Arts d’Angers, à Cauterets, et s’installe seule trois mois dans une cabane de berger au cœur du val de Géret.